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12 mars 2011 6 12 /03 /mars /2011 07:11
Interview de Mustapha Bouchachi, président de la Ligue algérienne de défense des droits de l’Homme (LADDH), sur la situation en Algérie - Extrait

 

FIDH : Quel est l’attitude du gouvernement algérien ?

Mustapha Bouchachi : Il s’agit d’un Etat qui a de l’argent, il peut acheter la paix sociale pour durer encore. Le gouvernement distribue de l’argent via, par exemple des associations chargées de recevoir les jeunes, les aider, leur trouver du travail. Même s’il n’y a pas réellement de travail. Le gouvernement fait aussi des déclarations, comme par exemple la création de 3 millions d’emplois. Il a également annoncé la distribution de milliers de logements dans les prochains mois. Il est aussi demandé aux gendarmes de ne plus appliquer le code de la route et aux procureurs de ne plus exécuter les jugements. Ils achètent le silence des gens.

Lire tout l'interview

 

(Source FIDH)

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12 mars 2011 6 12 /03 /mars /2011 07:04
Interview du 23 février de Amal Basha, présidente de l’organisation yéménite Sisters’ Arab Forum for Human Rights (SAF), organisation membre de la FIDH.

 

Quelle est votre point de vue sur les événements en cours dans le reste de la région ?

La colère a démarré en Tunisie et s’est répandu en Egypte, puis en Libye, au Yémen, en Algérie, au Soudan, à Bahreïn, jusqu’en Syrie… Je pense que ces mouvements de protestation peuvent être considérés comme positifs et que de véritables changements sont en cours.

En Libye, le peuple est confronté à une répression extrêmement brutale. Nous ne voulons pas que le Yémen soit à son tour menacé par de telles violences. Pour cela, nous avons besoin du soutien de la communauté internationale. Bien sûr, les gens sont préoccupés par ce qui se passe en Libye, mais la communauté internationale ne doit pas passer sous silence ce qui se passe au Yémen.

Actualisation du 10 mars :
Des milliers de Yéménites ont manifesté le 9 mars sur une place de la capitale, au lendemain de la prise d’assaut de l’université de Sanaa par l’armée, une intervention qui a fait un mort et des dizaines de blessés. Le raid des soldats à l’université a accru les tensions dans le pays, où des milliers de personnes manifestent depuis des semaines pour exiger le départ du président Ali Abdallah Saleh, au pouvoir depuis 32 ans.

 

Lire la totalité de l'interview



Source FIDH- Propos recueillis par Shawna Carroll – FIDH

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12 mars 2011 6 12 /03 /mars /2011 06:58

Egypte: Le dictateur est tombé,il est temps de faire tomber l'Etat Policier....Déclaration du Forum des Organisations Indépendantes des Droits de l'Homme. Lire

 

(Source FIDH)

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12 mars 2011 6 12 /03 /mars /2011 06:51
TunisieParis, Tunis, 3 mars 2011 - Des heurts violents entre des groupes armés et la police lors de manifestations pacifiques dans la capitale auraient fait au moins 5 morts, plusieurs blessés et plus d’une centaine d’arrestations depuis le week-end dernier. La FIDH craint des tentatives de déstabilisation de la transition démocratique.
 
Une mission de la FIDH qui s’est rendue à Tunis entre le 19 et le 25 février, ainsi que les représentants de la FIDH en Tunisie, ont constaté de nombreux signes laissant craindre que des éléments du système répressif mis en place sous la dictature de Ben Ali ne perdurent. En effet, des principaux responsables d’actes de torture et autres graves violations des droits humains, semblent bénéficier d’une totale impunité et certains continuent à occuper des fonctions dans la haute administration. D’autre part, certains hauts responsables du régime de Ben Ali continueraient d’exercer une influence contre toute transition démocratique.
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12 mars 2011 6 12 /03 /mars /2011 06:44
Dans une résolution adoptée samedi 26 février 2011, le Conseil de sécurité des Nations unies a décidé à l’unanimité de ses membres de déférer la situation en Libye à la Cour pénale internationale (CPI). La FIDH se félicite de ce renvoi et espère que cette action aura un effet dissuasif immédiat sur la commission en cours des crimes barbares contre la population civile.
 
Source Fédération Internationale des Droits de l'Homme
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22 novembre 2007 4 22 /11 /novembre /2007 17:57

La tenue d'un référendum sur le traité de Lisbonne est une ardente nécessité démocratique. C'est pourquoi des personnalités diverses, ont décidé de rassembler leurs efforts dans un Comité national pour le référendum. Le CNR s'adresse à tous ceux, quelle que soit leur opinion sur le nouveau traité, qui affirment la nécessité que le suffrage universel se prononce sur ce traité. Vous trouverez ci-dessous et ci-joint le texte de l'appel et la liste des premiers signataires. Un site est ouvertVous aussi, exigez que la décision revienne aux citoyens, soutenez la démarche du Comité National pour un Référendum.

Lire l'appel et voir les premiers signataires

Je veux signer l'appel

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29 octobre 2007 1 29 /10 /octobre /2007 08:32

"Ce qui a été décidé par référendum ne peut être réexaminé que par référendum. Une autre procédure ne serait pas vraiment démocratique. Sur cette base, j’espère que ce sera l’occasion pour les socialistes de se rassembler." Interview de Laurent Fabius publiée par Le Parisien / Aujourd’hui en France. ...lire la suite

 

 

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29 octobre 2007 1 29 /10 /octobre /2007 08:31

 Un sondage provoqué par le Financial Times et publié par marianne2.fr montre que 63% de nos compatriotes veulent un référendum sur le mini-traité. Les Allemands, les Italiens et les Espagnols l’exigent respectivement à 76, 72, 65% ! Ces Pays, dont l’expression populaire est bâillonnée depuis toujours sur la conception de l’Europe, deviendraient exigeants ? Chez nous, le Président de la République nous confisque le droit de choisir le destin de la France. Avec le soutien de parlementaires béats ou menacés, il veut faire adopter, en décembre, un texte qui reprend 90% de la ‘constitution Giscard’ rejetée à 54,7%en mai 2005. C’est une imposture. En somme l’Europe des Peuples devient une cocotte-minute sous la pression de l’autocratie supranationale où s’affrontent la mondialisation furieuse et l’anarchie internationaliste. Elle bout sur le feu de la dictature bruxelloise avec qui des Chefs d’Etats vassaux collaborent à la soumission de leur Peuple. Plus les ‘princes qui nous gouvernent’ attisent la flamme- au point de fragiliser des réformes sociales et économiques quasi indispensables pour la collectivité nationale- plus les Français seront contraints à la révolte, d’instinct et sans stricte analogie, conformément à l’Histoire : de Brennus à De Gaulle, en passant par Charles-Martel, Jeanne d’Arc et Valmy ! C’est à dire la personnalité de la France. CASTELIN Michel/13600/La Ciotat/26oct07/0442089300/

 

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31 août 2007 5 31 /08 /août /2007 15:27

Discours sur l'EuropeQuinze ans après Maästricht et alors qu'une CIG travaille à la rédaction du traité modificatif de la Constitution européenne, nous vous invitons à  relire le lumineux discours que prononça Philippe Séguin devant l'Assemblée Nationale, le 5 mai 1992. Un grand discours européen que nous propose l’Observatoire de l’Europe.  (OD)- "Monsieur le président, madame, mes­sieurs les ministres, mes chers collègues, je voudrais croire que nous sommes tous d'accord au moins sur un point : l'ex­ceptionnelle importance, l'importance fondamentale du choix auquel nous sommes confrontés, et, ce disant, je n'ai pas l'impression de me payer de mots! C'est en tout cas avec gravité que je viens inviter cette assemblée à opposer l'exception d'irrecevabilité au projet de loi constitutionnelle que le Gouvernement nous présente comme préalable à la ratification des accords de Maastricht négociés le 10 décembre 1991 par les chefs d'État et de gou­vernement des pays membres des communautés européennes et signés le 7 février dernier. Mon irrecevabilité se fonde sur le fait que le projet de loi viole, de façon flagrante, le principe en vertu duquel la sou­veraineté nationale est inaliénable et imprescriptible, ainsi que le principe de la séparation des pouvoirs, en dehors duquel une société doit être considérée comme dépourvue de Constitution . Il existe en effet, au-dessus même de la charte constitution­nelle, des droits naturels, inaliénables et sacrés, à savoir pour nous les droits de l'homme et du citoyen tels qu'ils ont été définis par la Déclaration de 1789. Et quand l'article 3 de la Constitution du 4 octobre 1958 rappelle que «  La souverai­neté nationale appartient au peuple », il ne fait que recon­naître le pacte originel qui est, depuis plus de deux cents ans, le fondement de notre État de droit. Nulle assemblée ne saurait donc accepter de violer délibérément ce pacte fonda­mental.

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18 août 2007 6 18 /08 /août /2007 08:00

Lu pour vous: "Il y a cinq ans, Peter Hartz, directeur du personnel de Volkswagen et ami de longue date de Gerhard Schröder, présentait en grande pompe au chancelier d'alors une batterie de réformes sociales d'inspiration libérale qui devaient "diviser le chômage par deux". L'Allemagne comptait plus de 4 millions de chômeurs, le chancelier jouait sa survie politique. Depuis, l'un et l'autre ont disparu de la vie publique, le premier emporté par un rocambolesque scandale de corruption, le second désavoué par les électeurs et la base du Parti social-démocrate (SPD), qui n'aura approuvé que du bout des lèvres ces réformes, les plus profondes de l'Etat-providence allemand d'après-guerre.Aujourd'hui, le chômage a considérablement baissé, grâce à une conjoncture internationale favorable et aux exportations records du made in Germany. Mais la pauvreté est devenue le quotidien de millions d'Allemands. Et les lois "Hartz" sont montrées du doigt. La plus controversée, Hartz IV, sur la refonte des allocations chômage en fonction de critères parfois très personnels, est accusée d'avoir institutionnalisé la pauvreté. "Hartz est synonyme d'un grand désarroi social", tonne Annelie Buntenbach, vice-présidente de la puissante confédération syndicale DGB.Le 16 août 2002, en acceptant de mettre en oeuvre le projet, Gerhard Schröder s'engageait sur une voie qui allait le rendre vite impopulaire, dans un pays très syndiqué où l'emploi est traditionnellement stable, réglementé et cher.Introduites en quatre vagues successives, les réformes de Peter Hartz, artisan de la flexibilité chez Volkswagen, brisent les tabous de la gauche : réduction du coût du travail et des allocations, incitation à accepter un emploi en dessous de ses qualifications sous peine de sanction, dérégulation, encouragement de l'individualisme économique... L'autre aspect porte sur une réorganisation de l'administration fédérale de gestion du chômage vers plus de compétitivité.

"COMPTER CHAQUE CENTIME"

Certaines mesures ont vite périclité, comme les "agences de service personnel", censées mieux vendre les chômeurs directement auprès des entreprises, ou les "jobs à 1 euro" de l'heure, bien en deçà des conventions collectives.Phénomène de mode, la "Ich-AG", sorte de "société par actions à moi tout seul", connut son heure de gloire : un bénéficiaire recevait une indemnité régulière pour mener à bien un projet professionnel individuel. Mais elle aussi a été abandonnée, en raison de la difficulté à évaluer le sérieux des demandes. Restent les 7 millions de "mini-jobs" peu qualifiés, rémunérés à 400 euros maximum, dont la part de cotisation patronale est réduite et forfaitaire, et qui n'offrent pas de garantie d'emploi à long terme.La mesure la plus emblématique reste Hartz IV, plus que jamais d'actualité au moment où des ménages en sont réduits à compter chaque centime pour pouvoir payer le lait, le beurre et le fromage, dont les prix viennent d'augmenter. Elle réduit à douze mois (contre trente-deux auparavant) la période de versement des allocations chômage. Au-delà, le chômeur, dit de longue durée, reçoit une indemnité de 350 euros environ, s'il vit seul. Hartz VI a fait descendre des centaines de milliers de gens dans les rues, qui protestaient notamment contre le fait qu'un bénéficiaire puisse être appelé à prendre un logement plus petit en fonction de ses revenus. En avril, 7,4 millions de personnes bénéficiaient de ces allocations.Résumant l'avis général, le social-démocrate Wolfgang Clement, le ministre du travail ayant endossé ces réformes, juge à l'occasion de leur cinquième anniversaire qu'elles ont "changé les mentalités en Allemagne. On vit aujourd'hui beaucoup moins dans l'idée que l'Etat peut tout financer". "

Source Journal le Monde 17.08.07

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